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RESONANCE - KRYSTYNA DUL
Photographies : Krystyna Dul
Editeur : Coédition Lët’z Arles et CNA Arles, 2019
Textes: Paul di Felice & Christian Gattinoni
Langues : Anglais / Français
Format fermé : 18,5cm x 22,5 cm
Couverture : Hardcover
Pages : 72 pages + 8 text pages (leporello)
Photographies : 40
ISBN: 978-2-9199528-0-9
Résumé:
Resonance photo book is a complex vision into Krystyna Dul’s project exhibited at Les Rencontres d’Arles 2019. It is a view into an elderly man’s mind mimicking the way it functioned - through showing its many layers, picturing the tricks his mind played on him, flashes of his memories, moments of confusing reality and dreams and finally how his memory was fading away.
‘How does an empty house, which still vibrates with its last single occupier’s presence, his solitary murmurs forever silenced, resonate. Among these imprinted archives, like leftover furnishings, Krystyna Dul endeavours to bring to light a counter-relief of the tenant’s portrait; one speculates alongside her about his desire to conserve the numerous types of published or printed images, erotic magazines, a bas relief pin-up in carved wood, and more intimate photos.’
Christian Gattinoni
Le livre Resonance est une plongée complexe dans le projet de Krystyna Dul exposé dans le cadre de l’exposition homonyme de Krystyna Dul à la Chapelle de la Charité à Arles dans le cadre des Rencontres de la photographie d’Arles 2019, sous le commissariat de Paul di Felice. C’est un regard dans l’esprit d’un homme âgé, mimant la manière dont cet esprit fonctionnait – en montrant ses dimensions multiples, en faisant des images à partir des jeux que lui jouait son esprit, de flashs sur ses mémoires (imaginées), des moments où la réalité et les rêves se mêlent… jusqu’à ce que la mémoire s’efface.
« Comment résonne une maison vide encore toute vibrante de son dernier occupant célibataire, ses murmures solitaires à jamais tus. Krystyna Dul s’attache à retrouver dans ces archives imprimées, comme dans les restes mobiliers, un portrait en creux du locataire. On s’interroge avec elle, sur sa volonté de conserver toutes ces formes d’images publiées ou imprimées, magazines dits de charme, bas relief de pin up en bois sculpté et clichés plus intimes ».
Christian Gattinoni